La technique consiste ainsi à envelopper chaque conduit avec un matériau isolant recouvert par une gaine calorifuge pour minimiser ces pertes thermiques indésirables.
Si la tuyauterie se trouve en extérieur, on opte plutôt pour des coquilles en acier qui sont robustes face aux intempéries ainsi qu’aux attaques des rongeurs. Il existe plusieurs types de calorifugeage disponibles selon les besoins spécifiques requis.
La tuyauterie est recouverte d’une gaine pour envelopper les mètres et coudes.
La coquille en laine de roche est préférée pour une meilleure résistance du matériau. Plusieurs méthodes peuvent être utilisées pour revêtir les conduits : des coquilles en fibres minérales, de la mousse polyuréthane ou polyéthylène ainsi que des manchons en caoutchouc cellulaire sont envisageables.
Ces matériaux ont une grande résistance à la chaleur, pouvant atteindre jusqu’à 100°C. Cependant, étant donné que les fluides caloporteurs et l’eau chaude ne dépassent généralement pas 60°C, il peut être nécessaire d’ajouter un revêtement de protection supplémentaire tel que de l’aluminium, une toile de plâtre ou du PVC.